Le seul vrai choix : la vie

Ce témoignage date de 2004. Il émane d'un étudiant en médecine ayant suivi un programme dans le cadre de sa formation à New-York. Il a pu seconder des praticiens dans différents actes de médecine, dont un avortement par aspiration.

A cette époque, l'étudiant est favorable à la « liberté de choix » et ne voit pas de difficulté au fait pour une femme de se faire avorter.

Mais son état d’esprit va changer durant l’intervention : « en quelques secondes, le moteur de la machine a démarré et du sang, des tissus et des petits organes ont été aspirés et retirés de leur environnement. Une minute plus tard, l'aspirateur s'est arrêté. Le tube a été retiré. Collés au bout se trouvaient un petit corps et une tête à peine rattachée puisque le cou avait été broyé  ».

« Le filtre de l'aspirateur a été ouvert, et les bras et jambes minuscules, qui ont été détachés du fœtus, s'y trouvaient. Les docteurs, fiers de leur travail, ont rassemblé les différentes parties du corps pour me les montrer  ».

« Les larmes me sont montées aux yeux lorsqu'ils ont enlevé le petit bébé de la table et jeté son corps dans un bac pour déchets biologiques ».

Et l’étudiant de conclure : « jamais plus je ne serai en faveur de la liberté d'avorter (‘pro-choice’) ».