L’Islam se dévoile de plus en plus.

Source: FSSPX Actualités

 

Directeur du Centre islamique de Genève, Hani Ramadan a déclenché une belle levée de boucliers après la publication, par Le Monde, d’un texte dans lequel il défend non seulement la punition de l’adultère par la lapidation, mais aussi l’idée selon laquelle le sida n’est autre que la punition de Dieu. Le directeur du Centre islamiste de Genève complétait son texte dans le Bulletin du centre qu’il dirige, en y incluant une défense sinon une apologie de la charia et de la lapidation telle que notamment pratiquées au Nigeria: « Notons à ce titre que si la vision de la lapidation est dure et marque les esprits, les témoignages révèlent que la souffrance du condamné est rapidement abrégée : la pluie de pierres qui s’abat sur lui l’assomme en effet en l’espace de quelques secondes ».

L’on veut bien qu’il y ait un islamisme dur et un Islam plus “civilisé”, mais le premier est considéré, dans tout le monde musulman, comme une interprétation valable, même si tous ne s’en réclament pas. Cela devrait ouvrir les yeux à nos évêques, convaincus de l’“humanisme” de l’Islam, porteur de “valeurs transcendantes”.

En revanche, quant au sida, l’analyse relève du bon sens : « (…) le virus du sida n’est pas issu du néant. (…) Seuls s’exposent à la contamination ceux qui ont un comportement déviant ».