Portugal : Cérémonie hindouiste à Fatima
Fatima : profanation hindouiste de la Capelinha
Le journaliste de SIC fit la description des hindous réunis dans leur temple de la capitale portugaise, pour prier et adorer les différentes statues des dieux hindous. Puis, arrivés à Fatima les "pèlerins" se sont dirigés vers la chapelle des Apparitions où leur prêtre présida la récitation des prières. Commentaire du journaliste : "C’est un moment unique et sans précédent dans l’histoire du sanctuaire. Le prêtre hindou, ou Sha Tri, récite à l’autel la Shaniti Pa, la prière pour la paix. On peut voir les hindous enlever leurs souliers avant de s’approcher de la balustrade du sanctuaire, pendant que le prêtre prononce les prières à l’autel dans le sanctuaire".
Au cours du reportage, le recteur du sanctuaire, le père Luciano Guerra déclara: "Ces rencontres nous donnent l’occasion de nous rappeler que nous vivons dans une communauté". (sic)
Après avoir adoré leurs dieux et prié dans la chapelle, les hindous furent conduits dans une salle d’exposition où se trouve la maquette de la future basilique interreligieuse en cours de construction. Là, chacun d’eux fut accueilli personnellement par l’évêque de Leiria - Fátima, qui s’inclina devant le prêtre hindou en réponse à sa salutation. Alors le prêtre hindou revêtit le recteur du sanctuaire et l’évêque de Fatima du châle des prêtres hindous. Commentaire du journaliste : "Sur les épaules des plus hauts représentants de l’Église à Fatima, le prêtre hindou place un châle portant des inscriptions de la Bagavad Gita, un des livres sacrés de l’hindouisme".
Le reportage se conclut avec des images montrant un prêtre hindou allumant un cierge dans le sanctuaire pendant que ses disciples dansaient à l’extérieur de la chapelle des Apparitions en chantant des louanges à leurs dieux. Le commentateur termina sur ces paroles : " En 1982, un gourou, grand prêtre hindou, est venu de Bombay à Fatima. Il signa le livre d’or tout de suite après le Pape Jean-Paul II et sur la même page que Mère Teresa de Calcutta."
Pour toute justification, l’évêque du diocèse de Leiria-Fatima, Mgr Serafim Ferreira e Silva, a déclaré à un journal de la région: "Nous ne voulons pas être des fondamentalistes, mais être sincères et honnêtes".